Partager un homme, sans partager sa vie, vivre dans l'ombre.... Karole, tu ne me comprends pas, tu penses que je fais fausse route, que le chemin que j'ai choisi ne mène à rien.
Te dire que je l'aime est idiot, surement, te dire que j'ai l'impression de le connaître depuis toujours, de savoir depuis que je l'ai rencontré que nous finirions par partager plus que des regards ne me justifiera pas plus à tes yeux.
Oui, je savais dès le départ qu'il était marié, qu'il avait une famille, comme j'en ai une moi-même.
Je pourrais raconter un jour au fil de ce blog les hommes, les histoires impudiques et moralement condamnables qui m'ont permis de vivre tant de moments de bonheur, volés à d'autres, mais tellement intenses...
Te dire que je l'aime est idiot, surement, te dire que j'ai l'impression de le connaître depuis toujours, de savoir depuis que je l'ai rencontré que nous finirions par partager plus que des regards ne me justifiera pas plus à tes yeux.
Oui, je savais dès le départ qu'il était marié, qu'il avait une famille, comme j'en ai une moi-même.
Je pourrais raconter un jour au fil de ce blog les hommes, les histoires impudiques et moralement condamnables qui m'ont permis de vivre tant de moments de bonheur, volés à d'autres, mais tellement intenses...
Mais quelle importance aujourd'hui, que tous ces instants ? L'important a été de les vivre, tous, intensément, l'un après l'autre. L'important aussi a été de ne jamais faire de dégâts, de ne jamais blesser l'autre, les autres, ceux qui n'étaient pour rien dans ces passions fugaces.
Alors, bizarrement, à quarante ans passés, de ces instants parfois sans lendemain, je n'en regrette aucun....